Ce billet va servir à dépoussiérer la place un brin et titiller Jean-François et surtout pour réveiller un de mes démons comme celui de Fuck Off qui ma foi, me hante toujours. (Ok j’en mets un peu mais hey! C’est ça qui faut, y’a plein de sang tsé)
J’accompagnais une fille à son après bal. J’avais trois ans de moins qu’elle (faites le calcul, z’allez savoir assez facilement l’âge ou je me suis fait dérouler le prépuce par autre chose que ma main ou les coussins du divan)
Me rappelle pu du bal, me rappelle pu de l’après bal non plus. Me rappelle juste que je ne cessais de me dire: « CE soir, c’est LE soir! »
On s’est retrouvé dans un chalet. On a bu, pis après on s’est retrouvé dans le lit. Mettons que t’es p’tit dans tes shorts quand tes seules références c’est du porn où tout le monde est poilu ou bedon des magazines qui se retrouvent ã une hauteur trop haute pour que tu puisses les atteindre. Juste du rêve… Du rêve…
Mais là, le rêve… Il est vrai! Y’a une bouche sur ma zouine calvaire!! Mais c’est quoi qu’ils font dans les films XXX déjà??
Ah ben ouais, on se revire à l’envers pis on redonne au suivant voyons! Y’a juste le goût qui m’a laissé surpris mais bon.
Là y’a un truc qu’il faut expliquer… Quand on est ado, j’sais pas si c’est normal mais on a tous hâte d’avoir du poil. Pis on le laisser pousser. J’étais comme ça. Pis ma jument (ben quoi?? J’étais son cavalier qu’elle arrêtait pas de dire au bal) ben elle pensait pareil.
Un cavalier qui broutte c’est weird en esti quand j’y repense…
Anyways, ma jument a fini par me chevaucher. Un cavalier qui se fait monter par sa jument, c’est encore plus weird.
30 secondes et trois quart pis hop j’avais fini ma job mais pas elle. Après m’avoir torturé pendant 10-15 de va et viens sur ma pôle fraichement dépucelée elle s’est tassée. En me dirigeant dans la salle de bain par la suite avec mon air triomphant j’ai attrapé mon air quand je me suis regardé dans le miroir et que je me suis rendu compte que j’avais l’air de Patof ou Bozo le clown c’est selon…
Mince consolation… Elle m’avait embrassé avant que je me lève