Des petits pois en cadeau de convalescence

Ce matin je me suis levée tôt pour le rendez-vous à l’hôpital pour Jacob. C’était l’échographie de sa hanche droite. Tout s’est bien déroulé. La première fois qu’il avait été a une échographie il n’avait pas aimé, mais cette fois si il charmait la Docteure et la technicienne avec de beaux sourires, pareil comme son père lui un petit charmeur de nature.

Pour en revenir à son écho tout est bien normal, mais je dois pareil aller la semaine prochaine voir un orthopédiste pour confirmer le tout.

 

Maintenant parlons du Drew, 😈 Depuis mon rendez-vous de 6 semaines chez mon obstétricien j’ai le papier de référence pour la super vasectomie  à mon amour. Nous avons attendu un peu. J’ai commencé a téléphoner le dernier jour de juin, mais il tombait en vacances alors je devais rappeler en début du mois d’aout. Lundi prend le téléphone et j’appelle pour me faire dire par le répondeur qu’il serait de retour mercredi à leur bureau. J’ai donc oublié  de le faire mercredi et hier.

 

Aujourd’hui je dis a mon amour qu’il devrait appeler pour prendre le rendez-vous et il me fait comme réponse oui oui après midi avec un petit sourire, mais pas sur de lui 😀 . J’ai donc pris la charge de le faire.

À partir du 18 septembre, le Drew va être un tantinet différent. Il va être plié en deux avec des sacs de pois entre les jambes. Je vais donc devoir faire la fausse infirmière de moi pour l’aider. Mais je ne serai pas habillé en infirmière cochonne pour le besoin de la cause je vais prendre l’ensemble quétaine que nous devions porter en stage un vrai turn off.

Je vais aller faire de petites étoiles sur le calendrier pour qu’il se rappelle bien de la date.

Déroulement de la venue du fiston

Je prends quelques minutes pour parler de mon accouchement et du déroulement avec les deux cocos à la maison.

J’étais censée me faire provoquer pour mon accouchement et dans la nuit de jeudi à vendredi (4h24 am) le travail a commencé assez vite j’en ai même réveillé le Drew couché sur un beau lit inconfortable qui était à sa disposition.

J’ai donc crevé mes eaux vers 7h15 am. L’infirmière nous a dit que j’aurais l’épidural à 8h mais quand ils ont vu l’ampleur de mes contractions ils ont devancé à 7h50. J’ai trouvé que cet accouchement était plus douloureux que la première. À 8h46 nous avions notre petit Jacob, une déchirure et 4 points de suture plus tard tout était enfin terminé. Nous avons eu quelque peu peur durant mon 20 minutes de poussée car lorsque bébé Jacob se pointait vers la sortie son pouls diminuait drastiquement. Mon docteur était en préparation pour une césarienne dans une autre salle et il a dû interrompe pour venir dans ma chambre. Le bébé avait le cordon autour du cou deux fois puis une fois autour du corps ce qui causait la chute du pouls. Mon amour de chum a fait ça comme un pro a mes côtés faut dire qu’il commence à avoir l’habitude un brin 😆

Vers 10h nous avons été transféré dans notre chambre. Une chambre qui en passant était à chier. Ils sont en reconstruction et font aller les marteaux-piqueurs pour briser la brique. Ils ont aussi mis une bâche en plastique noir à l’extérieur de la fenêtre alors nous étions incapables de voir dehors.

Le temps passe et c’est long à rien faire pour cause de soluté. J’attendais avec impatience qu’ils me l’enlèvent pour que je puisses me promener et voir une amie qui travaille à l’hôpital en radiologie afin de lui dire un petit coucou.

A 14h il m’enlèvent le soluté et (WOW enfin) j’étais libre de bouger! Me suis dépêchée, habillée, arrangée un peu et je go en bas pendant que mon amour reste avec notre petit diamant tout neuf.

 Samedi matin on demande à l’infirmière à quelle heure que nous pouvons quitter et elle nous informe que dans le dossier c’est écrit dimanche. On regarde la dame en lui disant que  non, le doc nous a dit qu’on pourrait quitter aujourd’hui en même temps qu’on (s’obstine avec) lui dit, le doc entre dans la chambre. L’infirmière lui demande et il répond qu’on peut partir dès que le pédiatre ait examiné le petit. En rajoutant que nous avions raison de vouloir partir avec la chambre qu’on avait. Nous sommes donc partis assez vite de l’hôpital et c’est là que j’ai été capable de me reposer et de recommencer mes tâches ménagères comme d’habitude.

Pour le retour à la maison avec Ophélie la première journée a été assez ardue. Elle voulait de l’attention et pour son petit frère bien elle n’était pas trop certaine. Depuis, elle veut toujours prendre son frère et on ne peut pas lui reprendre des mains lorsque nous voulons le prendre ou si je veux lui donner à boire.

Quand j’allaite, la puce s’assoit près de moi et attend que je termine pour prendre son frère ou sinon elle pleure pour l’avoir tout de suite.

Parlant d’Ophélie comme tout le monde le sait, un bébé de 19 mois c’est pas trop délicat alors nous mettons les bouchés double  pour vérifier quelle ne lui fait pas de mal.

Si Jacob pleure pour son boire dans la nuit et bien Ophélie se réveille. Cette nuit a bien été je n’ai pas entendu la puce se réveiller lorsque son frère s’est réveillé. Pour le reste nous sommes chanceux, le petit se réveille deux fois la nuit pour ses boires 😎

C’était un petit condensé de ma première semaine qui n’est pas encore terminée. Je dois retourner au ménage avant de me faire chicaner par mon chum!

Ça fait mal

Hier nous avons reçu un téléphone de mes beaux parents pour aller passer l’après-midi là puis souper. Nous avons préparé toutes les choses pour nous y rendre.

 La température est comme à chier. Il pleuvait et arrêtait toute la journée. Pour les gars et Emmy aucun problème dans le spa  bébé O sortait par elle-même de sa petite piscine alors nous sommes entré, car la pluie avait commencé à nouveau.

La journée se déroule assez bien même si la température n’est pas super. Tout le monde décidé d’entrer dans la maison et jouer à la WII alors moi, je décide, donc d’aller fumer une cigarette dehors.

J’enfile donc mes souliers pour sortir, puis j’ai un mauvais sentiment. Le pied me chauffe, brule et fait très mal. Je n’ose pas crier et pleurer de douleur, mais j’ai vraiment mal. Je lance le soulier dans la maison pour l’enlever de mon pied. Je dis à Drew qui jouait à la WII avec tout le monde de venir voir à mon soulier, de venir tuer l’abeille qui était entrée dans mon soulier.

Je ne sais pas comment l’abeille a été capable d’entrer dans mon soulier, mais j’ai su que je n’étais pas allergique aux piqures d’abeilles hier. Vraiment pas agréable se faire piquer. C’était la première fois et disons que je me suis retenue pour pas crié, car j’ai vraiment eu un mal.

Le pire dans tout ça est que je suis arrivée chez mes beaux parents j’ai enlevé mes chaussures a l’intérieur. Et je les ai remis lorsque j’ai voulu aller fumer une cigarette. Je ne les ai même pas laissé trainer dehors.

Similitudes de vie

Y’a de ces gens qui nous arrivent dans une vie. Certains passent, d’autres restent. Ceux qui restent, c’est souvent à cause des similitudes que la vie nous a foutu comme embuscades au gré des années.

Une de ces ressemblance que j’ai avec un ami à moi, c’est la damnée fin de semaine sur deux combinée avec la distance parcourue afin de se rendre compte qu’une fin de semaine. Ça passe trop vite. Qu’aussitôt que l’on s’y prends à débuter n’importe quoi, on se rends compte qu’no ne peut la terminer… Sans reporter à l’autre quinzaine de jours qui nous séparent la vue de l’autre.

Y’a plein d’autres trucs aussi qui nous font se ressembler. Les milles parcourus dans cette vie dont le chemin ressemble étrangement à celui sur la photo ici. Trop préoccupés à regarder où l’on mets les pieds, de peur de se foutre un pas dans un trou. Trop humiliés ou craintifs de tout ce qui nous est arrivé, on marche la tête basse. Parce que cette confiance, elle s’effrite au tempo des échecs qu’on a eus.

On regarde la route, on regarde nos pas, on oublie de regarder le ciel qui se dresse devant nous. Et on fonce dans la tempête.

Heureusement, autant pour mon ami que pour moi, il se trouve un soleil qui a décidé de partager notre vie. En vrai vent de fraîcheur qui tasse ces cumulonimbus. Et qui décide un peu de nous éclairer de cette température tant désirée depuis les derniers 6 mois. Ce soleil qui nous voit marcher la tête entre les épaules et qui fait en sorte qu’au lieu de foncer aveuglément dans la pluie et la dèche, qui veille sur nous éclairant peu à peu la route sous nos souliers et qui, sans le savoir, nous épaulent et nous amène à bon port. Lovés auprès d’elles.

Mots clés Technorati : C’est samedi,Âme soeur,Je t’aime la Reine,Il t’aime sa Fêlée,Il est bon de vous avoir dans nos vies respectives,Amitié,Expérience de Vie,Douleur,Bonheur

Une marche pénible

Hier j’avais décidé d’aller me promener avec bébé O. en poussette. La poussette est un peu large alors quand je suis sortie de la maison la poussette ne passait pas sur le chemin devant la porte. Je lève la poussette dans les airs pour me rendre au trottoir.  

 Je décide donc que nous allons marcher jusqu’au centre d’achat, tout va bien. On rentre dans les magasins toujours avec les obstacles de la poussette. Après avoir fait 2 magasins, je me tanne. Et oui déjà, je n’aime pas magasiner. Pourtant, la petite était très calme. J’aurais été capable de magasiner plus longtemps, mais bon.

En revenant à la maison, je commence à avoir mal aux pieds pour aucune raison. J’avais mis mes bottes de travail. Comme tout le monde le sait je travaille avec des jeunes alors je suis souvent dehors. Bref, les pieds commencent à chauffer et me font mal.  

Arrive a la maison range la poussette pendant que puce dort. Quand j ai décidé d’enlever mes bas pour voir mes pieds c’est là que j’ai vu que j’avais des bobos. Deux ampoules en dessous des pieds, dont une au sang. De plus, sont assez mal placé. Ils sont sur la paume de pied en plein ou je pèse quand je marche. 

À matin je trouve encore plus douloureux qu’hier. J’ai de la difficulté à marcher correctement. J’espère juste que ça va partir assez vite. Je ne veux pas marcher les pieds bizarres.

Migraines

 Je suis une personne qui souffre de migraine assez fréquemment. Par contre pendant mes 9 mois de grossesses je n’ai pas eu de migraine et je ne pense pas avoir vraiment eu un mal de tête. La madame était bien contente. Maintenant que j’ai accouché et bien je n’ai pas encore de migraine, mais les maux de tête ont réapparu.  Je ne peux pas prendre ma médication, car j’allaite. Alors mon meilleur ami les tylenol est près de mon lit.

Depuis ma tendre enfance que je souffre de migraine et j’avais tout essayé pour que le tout arrête, mais en vain rien de fonctionne a par se que mon neurologue me donnait.

Pour les gens migraineux, nous devons faire attention à ce que nous mangeons. Moi je ne peux plus manger de banane, car le taux de potassium provoque mes migraines. Il a beaucoup de facteurs qui provoquent les migraines  alors pour ma part plusieurs choses dont je dois faire attention. Le bruit et la lumière durant mes migraines m’agressent au plus profond de mon moi. Je me couche et la douleur diminue un peu. Toujours plate pour ceux qui vivent avec des migraineux, car faudrait presqu’ils arrêtent de vivre. Je ne ferai pas la liste, mais bon.  

Les migraines sont plus fréquentes chez les femmes, mais pourquoi nous?  De plus, les antécédents familiaux jouent un grand rôle. Une chose de plus que j’ai en commun avec ma mère. Une chance que ma relation mère fille va à merveille et que je ne pourrais rien dire qui m’achale de ma mère, car j’ai une relation exceptionnelle avec, tout comme avec mon père.

Mes migraines prouvent une chose j’ai une tête est pas toujours en fonction, mais elle est la.

La vaccination

     Le 9  décembre c’était le rendez vous de ma toute petite pour ses vaccins de 2 mois.  Disons que moi déjà la je suis bébé et j’ai peur des aiguilles alors pouvez vous imaginez comment c’était avec ma puce. Elle ne pleure quasi jamais. Le seul temps ou elle pleure c’est lorsqu’elle a faim ou pour un changement de couche mais hier pauvre petite. Quand elle a eu ses vaccins c’était comme si nous l’avions battu et moi le cœur de maman qui panique juste à voir des aiguilles paniquait encore plus de me voir impuissante face a ma fille qui venait de se faire piquer.              

     J’avais le cœur gros. J’avais presque les larmes aux yeux car déjà la, ma peur et après d’entendre ma fille. De retour a la maison….. Moi qui est débutante dans se domaine, le domaine maman ne savait pas quoi faire pour enlever la douleur a ma puce nous la prenions mais pleurait pareil. Une chance qu’il a les grands parents qui sont la pour nous aidé. J’ai appelé mes parents et ma mère me dit donne lui un peu de tempra…. Ah ben viarge comment se fait que je n aille pas pensée a sa….. Ma mère toute calme m’explique plusieurs choses. Une chance qu’elle est toujours la pour nous aider…..  Alors pour tout vous dire C’était la grosse affaire mais je remercie ma mère de m’avoir aidé à soulager la douleur de ma petite qui moi pas vite vite n’avait pas pensée a sa.       

 La je commence déjà a pensé aux prochains vaccins qui sont le 28 janvier et j’ai le cœur gros juste a pensé aux aiguilles.